2003, année du centenaire du Tour de France, Gwenaël obtient une « carte blanche « photographique de la part du quotidien La Croix.
S’en suivront trois années supplémentaires pour la presse spécialisée.
Gwenaël choisit de travailler à contretemps en faisant le choix de photographier à son rythme, en argentique, avec une chambre Polaroïd. Son travail se situe entre les coureurs et les spectateurs, du mordu des boyaux à l’accro du gadget sans oublier le vrai le pur, le fan DE…
À chaque étape, il choisit un angle et un seul, un lieu, un moment, une situation, avec un objectif: rencontrer et raconter la France du Tour.